Votremarque de maquillage bio, votre bar à sourcils haut de gamme ou vos services de maquilleuse doivent être accompagnés d'un logo au design époustouflant. Créez un logo de beauté avec des images saisissantes, y
Créersa marque de cosmétiques avec Art&Cos en 6 étapes. Laboratoire français de recherche et développement cosmétique, réglementation, fabrication, conditionnement, accompagnement. 05 58 35 48 15. contact@artcos-laboratoire.fr. Ok. Accueil; Présentation. Eco-Laboratoire
LaFrance est connue pour ses marques de cosmétiques. Avec une renommée mondiale, il est normal que de nombreux entrepreneurs choisissent eux aussi de se lancer dans la création de leur propre marque. Qu'il s'agisse d'une
Sommaire1Jeux concours voyage1.1 Jeux concours voyage1.2 Gagne t on vraiment aux jeux concours sur internet2 Resultat jeux concours2.1 Quel type de jeux concours2.2 Jeux concours creatif3 Jeux concours argent3.1 Jeux concours instant gagnant3.2 Jeux concours puericulture4 Liste gagnant jeux concours4.1 Jeux concours argent4.2 Jeux concours avec
Lesalaire en tant que maquilleuse. Le salaire d’une maquilleuse débutant est de 1100 € brut. En tant qu’indépendant, il est payé à la prestation, en fonction de la difficulté du maquillage, du temps passé et du nombre de personnes maquillées. La rémunération est donc complètement proportionnelle au travail effectué.
Lecircuit de distribution, c’est l’étape finale et donc, un enjeu primordial pour la réussite de votre marque. En effet, il existe 5 catégories de circuits qui peuvent vous permettre de diffuser vos produits : La distribution en Grandes et Moyennes Surfaces (GMS) : le circuit principal de distribution de cosmétiques.
. Actu Pour vendre un nouveau cosmétique, il faut forger un nom évocateur qui parlera à la cible choisie. Une novlangue conçue comme un miroir des désirs de la société. Mieux vaut ne pas être allergique aux anglicismes pour assister à une séance de création de nom cosmétique En préambule, j'aimerais rappeler à tous la brand equity et les différents insights qu'on a repérés dans cette catégorie." Car on ne dit pas "création de nom" mais "naming". On ne dit pas international, mais "globish". Et on ne parle pas de patrimoine de marque mais de "brand equity". Autour de la table, deux experts en stratégie de communication, un sémiologue, deux directeurs artistiques et un chargé d'études tentent de définir des champs lexicaux à grand renfort de Post-it. Pour inventer le nom de cette "émulsion à la vitamine C destinée aux peaux en manque d'éclat", ils ne disposent ni du flacon du futur produit ni de sa formule. Mais ils ont un inventaire détaillé de tous les soins concurrents déjà lancés sur le marché. Et une prescription du client la marque qui lance cette crème - un brief - qui explique l'action du produit sur la peau. Les boulettes de papier s'accumulent. Les fous rires aussi. Surtout lorsque les mots-valises apparaissent au tableau. On fait fusionner merveilleux et essence, renaissance et énergie, dynamisme et métamorphose. On accole des terminaisons comme "logy", "ist" ou "fique" avant de se rendre compte que les trois quarts des mots inventés ce jour-là sont déjà déposés dans un pays capital pour la marque. Retour à la case départ. ENJEUX INDUSTRIELS La plupart des grands groupes cosmétiques emploient des spécialistes du naming. Mais ces derniers ne sont pas seuls à dénicher les noms des produits de beauté. De nombreuses agences se consacrent uniquement à cela. Sur Google, lorsqu'on cherche une "agence de naming", on trouve 280 000 résultats. Les plus connues comme Landor Associates, Demoniak ou Kaos Consulting conseillent aussi bien des marques de lessive que des laboratoires pharmaceutiques, des groupes automobiles ou des grands noms de la beauté. Formés à l'Ecole des hautes études en sciences de l'information et de la communication Celsa, à Polytechnique, Sciences Po ou dans de grandes écoles de commerce, leurs membres ont bien conscience de l'impact des mots et des enjeux industriels qui sont derrière. La cosmétique fait aussi appel à de nombreux cabinets de sémiologie indépendants ou à des experts en rhétorique. "Il y a en effet aujourd'hui une industrie du nom car la consommation passe par ce que les sociologues appellent "la consommation de l'immatériel". Choisir un bon nom pour une marque est aussi important que de posséder une bonne matière première, explique la sémiologue Mariette Darrigrand, auteure de Comment les marques nous parlent mal Editions François Bourin. Au fond, la politique et la cosmétique sont deux secteurs où l'on croit dans le langage de manière christique. L'objectif étant de trouver un énoncé majoritaire, comme "Le changement c'est maintenant" ou "Parce que je le vaux bien", qui touche un point sensible de la société." Un business très rentable puisque le tarif pour la création d'un nom de produit d'une grande marque oscille entre 15 000 et 20 000 euros. NUAGE DE MOTS A ce prix, on ne se contente pas de trouver un nom. Le marketing a inventé un énoncé à sa mesure le "tone of voice", c'est-à-dire un nuage de mots à utiliser. "La tentation immédiate est de chercher à faire tout dire à un nom mais c'est impossible, précise Clément Chabert, consultant au planning stratégique chez Landor Associates. Du coup, on fournit une signature complémentaire et des principes d'expression qui vont définir une manière de parler, un ton, avec une dimension émotionnelle." Autant d'outils qui vont permettre à la marque de décliner le même registre sémantique sur son packaging et dans ses publicités. Pour mettre au point ce lexique, les experts du naming commencent par revenir sur l'histoire de la marque. "La difficulté pour la marque est de rester fidèle à ce qui fait sa singularité, son identité propre, tout en reflétant les grandes évolutions de son époque, explique Carmen Kervella, fondatrice du cabinet aHeadLand. La sémantique de la marque de maquillage reflète par exemple sa vocation à être au service des professionnels de la beauté Mac Pro, Studio Fix, Master... Alors que la ligne américaine Benefit utilise une rhétorique très ludique avec beaucoup de jeux de mots systématiquement en anglais le baume matifiant s'appelle Dr FeelGood, leur fond de teint Hello Flawless... » Impossible pour ces deux marques d'échanger leur registre lexical. De la même manière, Clinique, qui se positionne comme une réponse dermatologique, ne peut pas emprunter le vocabulaire impérial et statutaire de Guerlain. Pourtant, il existe quelques exceptions comme Vichy qui, après avoir situé son discours autour de la peau saine, s'est récemment mis à évoquer la "peau idéale" en lançant une gamme de soins baptisée "Idéalia". "Les consommatrices ont changé. En pharmacie, elles ne viennent plus uniquement chercher des solutions pour des problèmes d'acné ou d'eczéma, elles veulent aussi qu'on leur parle de glamour", justifie Natacha Dzikowski, directrice de l'agence de publicité TBWA. Or les "nameurs" n'ont qu'une seule mission satisfaire les consommatrices. "Au-delà du langage propre à chaque marque, il faut savoir à quel consommateur on s'adresse", souligne Nathalie Rozborski, directrice conseil mode et beauté au bureau de tendances Nelly Rodi qui a développé un outil matriciel répertoriant les consommateurs selon cinq familles distinctes aux noms évocateurs évasion, degré zéro, traditionnel, émotion, raison. "On a interrogé 2 000 personnes partout dans le monde sur ce qu'elles achètent dans tous les domaines et on s'est aperçu qu'elles appartiennent toujours à l'une de ces cinq catégories. Leurs achats sont guidés par la raison ou bien par leur attachement aux traditions, leur soif d'évasion ou encore par leurs émotions, et on ne peut pas s'adresser à elles de la même manière. En mode, une personne qui aime la marque espagnole Desigual n'ira jamais acheter un perfecto en cuir du créateur Rick Owens. C'est improbable. En beauté, c'est pareil. Les mots qu'on emploie ne pourront jamais toucher deux familles de consommateurs se situant culturellement à l'opposé l'une de l'autre." D'où l'intérêt pour les sémiologues et les agences de naming de nous observer à la loupe. Chez Landor Associates, on suit dix familles françaises depuis six ans. "Ça n'a pas de valeur statistique, mais c'est une représentation assez diverse des consommateurs en termes d'activités et de revenus, ajoute Clément Chabert. On a un jeune couple avec un enfant installé en milieu urbain, une famille de retraités en milieu rural, une famille recomposée, des personnes vivant en habitat collectif, d'autres en logement individuel... Et, depuis six ans, nous observons ce que chaque famille achète." Pour trouver des profils aussi différents, Landor Associates s'est fait aider par un "recruteur", une société spécialisée qui déniche des profils ciblés pour des cabinets de sondages. Rémunérées pour le temps qu'elles consacrent aux différents questionnaires par e-mail et par téléphone le montant des rémunérations ne nous a pas été communiqué, les familles sont également visitées une fois par an. Ce projet, déjà mis en oeuvre au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, le sera bientôt au Mexique. De quoi savoir pertinemment quels mots vont enclencher le désir d'achat. CASSE-TÊTE Avec tous ces filtres, trouver un nom devient un véritable casse-tête. D'autant qu'il faut qu'il soit exportable dans tous les pays. "En France, nous avons lancé la ligne de soins Sublimist, raconte Anne Decosse, directrice études internationales de L'Oréal Paris. Cependant, le mot "sublime" n'évoque rien aux anglophones, du coup, dans ces pays, la même ligne s'appelle Skin Perfection." Encore faut-il avoir les moyens de protéger plusieurs noms à l'international. "C'est une vraie galère, ajoute Yvette Gradiski, consultante indépendante pour de grandes marques de soins. Tous les mots sont déjà déposés. Si on prend "hydra" par exemple, l'Institut national de la propriété industrielle a déjà 40 ou 50 pages de noms de produits de beauté commençant par ce mot..." Par conséquent, les grands groupes déposent des noms sans les utiliser, afin de les avoir à leur disposition le jour où l'une de leurs nouveautés leur correspondra. "Il faut aussi vérifier la connotation culturelle dans chaque pays, qu'il s'agisse d'un mot français ou anglais, même si on n'a pas, au départ, d'ambitions internationales", ajoute Clément Chabert. Lorsque la petite marque bio Doux Me se lance en 2002 en France, elle joue avec l'évocation de la douceur et celle de l'ego. Mais lorsqu'elle débarque sur le marché américain quelques années plus tard, les journalistes locales sont gênées car à chaque fois qu'elles doivent prononcer le nom de la marque, elles doivent dire Do Me", qui signifie "baise-moi". PÉPITES LEXICALES On trouve ainsi d'autres pépites lexicales. En Thaïlande, une marque de soins anti-âge s'appelle Edentée. Et on doute que la ligne de produits "Fouf" à base de sels de la mer Morte de la marque Jordan Egypt Company puisse un jour être distribuée sous ce nom dans un pays francophone. Avec toutes ces contraintes sémantiques, la beauté regorge de mots-valises Luminescence de Lierac, Sublimage de Chanel, Benefiance de Shiseido... ou de noms "monstres" qui réunissent plusieurs mots comme Revitalift Magic Blur de L'Oréal Paris. Et elle ne se prive pas de superlatifs pour personnaliser des mots existants. C'est le secteur qui décline sans complexe les mots "multi", "supra", "intensif", "super", "élevé" ou "haute»... "Une autre difficulté consiste à ne pas emprunter des mots qui, même s'ils sont disponibles, rappellent une autre marque, décrypte Yvette Gradiski. Capture, par exemple, est un mot Dior, Absolu est un mot Lancôme. Et lorsque Lancôme a ajouté le mot Advanced à son produit Génifique pour signifier que sa formule avait été perfectionnée, beaucoup ont pensé que la marque "laudérisait" son nom car il évoque désormais le sérum culte Advanced Night Repair d'Estée Lauder." En observant les noms des produits de beauté, on lit les obsessions, les peurs, les craintes du moment. "Comme tous les autres secteurs de la consommation, celui de la beauté est très opportuniste, remarque Carmen Kervella. Il capitalise sans cesse sur les dernières avancées scientifiques et technologiques ainsi que sur les tendances culturelles, artistiques ou sociétales." Lorsqu'on a commencé à parler d'injections de toxine botulique, au début des années 2000, la cosmétique n'a pas hésité à revendiquer des effets "Botox like", à remplacer les mots "crèmes" par "injections de". Beaucoup ont dû faire marche arrière car les effets d'une crème ne sont pas comparables à ceux du Botox. Un soin ne peut pas rivaliser avec une piqûre qui fige un muscle facial pendant quatre mois et, cela, les femmes ont fini par le comprendre. Cependant, l'évocation du Botox sur les emballages a été progressivement remplacée par les mots "filler" ou "comblement", qui font référence aux injections d'acide hyaluronique gonflant les joues et les lèvres, alors que rien ne permet de les mettre sur un plan d'égalité. "Aujourd'hui, la médecine esthétique s'est banalisée, explique Natacha Dzikowski. On sait que les célébrités ont recours aux injections, les femmes n'ont plus peur d'avouer qu'elles se sont fait retoucher les paupières ou qu'elles ont eu recours au laser antitache. Grâce aux magazines féminins, elles connaissent toutes les techniques disponibles. D'où la prédominance des noms de produits de beauté inspirés par ces techniques." CAUTION SCIENTIFIQUE Aucune tendance sociétale n'échappe aux sémiologues. L'alimentation et la nutrition deviennent obsessionnelles ? La pollution est omniprésente ? La beauté répond avec des produits déclinant le mot "détox" ou "cocon". Les selfies, ces autoportraits pris à bout de bras avec un téléphone portable, explosent sur la Toile ? Les soins deviennent tous "photo proof" ou "HD" pour haute définition. L'univers médical rassure ? Les marques, et pas seulement celles distribuées en pharmacie, se mettent à singer la rhétorique des laboratoires pharmaceutiques. Certains produits ont brusquement fait apparaître des noms de molécules inconnues sous forme de code alphanumérique LR2412 chez toutes les marques du groupe L'Oréal, NIA-114 chez StriVectin, 12PHA chez Neostrata... avec des pourcentages de concentration toujours plus importants. On n'hésite pas à employer des sons "ic", "ctin" ou "ist" pour renforcer l'idée d'une efficacité Algenist, Redermic, StriVectin.... Sans compter qu'il y a toujours la lettre "x" pour surligner la caution scientifique – Capture XP de Dior, Future Solution LX de Shiseido, Xtend Your Youth de Dr Brandt... "Universellement, le "x" a une connotation scientifique, admet Clément Chabert. Qu'on cherche à vendre une prothèse auditive, une photocopieuse ou une crème antirides, le "x" produit toujours cet effet." NATURE ET ONIRISME Dans cette quête de noms en phase avec l'air du temps, la beauté s'est récemment mise à évoquer la génétique et l'infiniment petit. Le discours autour de l'ADN, des cellules souches et de la cellule s'est répandu dans tous les secteurs de distribution. "Génifique de Lancôme, c'est quand même un mot génial. Il réussit à évoquer les gènes, le génie et l'aspect bénéfique, avoue Mariette Darrigrand. Il faut regarder la cosmétique comme un miroir des représentations générales. La société occidentale est obsédée par la santé, elle sait que ça passe par la génétique et par la durabilité. C'est le développement durable appliqué au corps." D'autres, comme Caudalie ou Nuxe, vont miser sur des univers radicalement différents valorisant la nature et l'onirisme avec des mots comme Nirvanesque, Merveillance, Divine... "Il faut trente jours pour juger de l'efficacité d'une crème mais, en dehors des cas pathologiques - acné, rosacée -, il est impossible de se souvenir de l'état de sa peau un mois plus tôt, rappelle Anthony Mathé, docteur en sémiotique et consultant pour de nombreuses marques de beauté. Ce que l'on va évaluer immédiatement, c'est la sensorialité, ce qui, sur le plan scientifique, n'a rien à voir avec l'effet clinique." Les marques qui choisissent des mots axés sur le plaisir cherchent donc à amplifier nos perceptions sensorielles. D'autres enfin font le choix de rejeter le naming. Parfois parce qu'ils n'ont pas les moyens d'entrer dans cette course effrénée au bon mot et préfèrent se contenter d'appeler leurs produits "crèmes de jour" ou "de nuit". Pour certaines marques, comme Aesop ou Kiehl's, la simplicité représente une stratégie à part entière. Et ça marche puisqu'elles cessent d'ouvrir de nouveaux points de vente, attirent tous ceux qui ne croient pas aux promesses démesurées. "C'est une manière d'évoquer la transparence, explique Yvette Gradiski. Les consommateurs peuvent percevoir cela comme une démarche plus authentique." D'autant plus qu'elles vantent des ingrédients naturels qui rappellent l'univers rassurant de l'apothicaire d'antan. "Il y a une tendance qui consiste à utiliser les mots les plus purs et à éviter les noms inventés, perçus comme inauthentiques", confirme Luc Speisser, président de Landor Associates Paris. Plutôt que des énoncés alambiqués pour qualifier ses trois sérums, la marque Chanel a préféré "Le jour", "La nuit", "Le week-end", évoquant un style de vie plutôt qu'un bénéfice révolutionnaire. Au risque de paraître simpliste. Avec une population qui ne cesse de vieillir, l'enjeu des mots de la beauté sera de réussir, dès demain, à s'adresser aux femmes de plus de 50 ans avec le bon registre. "Lorsqu'on présente le vieillissement comme une pathologie, on exclut toutes celles qui n'ont pas peur de vieillir", remarque Anthony Mathé. Ces derniers mois, on assiste donc à une évolution subtile du vocabulaire lié à l'anti-âge. On préfère parler d'"activateur de jeunesse", de "cellules préservées" plutôt que signifier l'idée d'"antirides". La règle fondamentale quand on s'adresse à ces femmes, et surtout quand on cherche à qualifier un anti-âge global, est de ne pas utiliser le mot "vie", poursuit Anthony Mathé. Si L'Or de Vie de Dior ou Secret de Vie de Lancôme n'ont pas trouvé leur public, c'est précisément à cause de ce mot. Car il est synonyme de mort. On vous parle de vie alors que vous êtes en train de dépérir, ça ne peut pas marcher." Mais le "bien vieillir" n'est pas le seul territoire sémantique à explorer. La cosmétique ethnique, encore délaissée ou presque par les grands groupes, commence à déployer son vocabulaire politiquement correct avec les peaux "orientales", les cheveux "méditerranéens". Pourtant, même en scrutant les comportements, les "nameurs" doivent répondre à des attentes irrationnelles. "La promesse de jeunesse et de beauté est transcendée par des espérances diverses notamment affectives - comme avoir confiance en soi, séduire - qui ne seront jamais comblées par une crème", constate Carmen Kervella. C'est pourquoi le divin flirte sans cesse avec les références scientifiques. "Il y a un vrai paradoxe entre ce que l'on veut et ce que l'on a, surenchérit Anthony Mathé. On convoque la science parce qu'on veut tout. La séduction. Le bien-être. Donc le bonheur. Du coup, c'est un objet qui échappe, ce que l'on vend est inaccessible. C'est pour ça qu'il y a souvent deux idées qui cohabitent sur un packaging le rêve et la performance." Reste à savoir si le marketing peut anticiper le moindre sentiment. En 1921, alors que Gabrielle Chanel lançait son premier parfum, tous ses concurrents étaient convaincus que le nom d'une fragrance devait raconter une histoire. En choisissant un matricule, le No 5, elle a pourtant remis en question toutes les règles alors en vigueur, faisant de son parfum une légende toujours classée parmi les meilleures ventes. Preuve qu'on ne peut pas robotiser toutes les réactions des consommateurs. Même avec des mots choisis. *Les illustrations qui accompagnent cet article sont des détournements des codes de la publicité. Lili Barbery-Coulon Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Une histoire entre art et make-up Rien ne prédestinait Dany Sanz à devenir une pionnière du make-up. C’est sa passion pour le théâtre, la peinture et le cinéma qui l’a menée vers le monde de la beauté. Elle attrape le virus, après des études aux Beaux Arts, en réalisant les maquillages pour un spectacle à la demande d’amis. Elle se consacre ensuite au bodypainting avant de créer une école de maquillage professionnel dans les années 70. Dany Sanz commence à créer ses propres formules pour répondre aux besoins des professionnels. Son maquillage fait-maison remporte un tel succès qu’elle décide ce lancer sa propre marque. En 1984 nait Make Up For Ever. Les débuts sont assez artisanaux. La créatrice donne des cours de maquillage le jour et imagine de nouvelles formules la nuit, puis élabore les produits au sous-sol de ce qui est aujourd’hui sa boutique phare rue de la Boétie. Grâce à des produits de qualité et des gammes variées répondant à toutes les envies, la marque prend rapidement son envol. Et, après avoir séduit les professionnels, elle conquiert rapidement le grand public. Forte de ce succès, Make Up For Ever rejoint le groupe français LVMH en 1999. Aujourd’hui directrice artistique de la marque, Dany Sanz continue d’imaginer des produits pour combler professionnels et grand créatrice avant-gardiste Passionnée par son métier, Dany Sanz revient pour nous sur les débuts de la marque, ses plus belles réussites et ses futurs projets. Pourquoi avoir décidé de créer votre entreprise ? Quel a été le déclic ? Dany Sanz Le déclic date de mon temps d’enseignante au sein d’une des plus grandes écoles de maquillage parisienne, au début des années 1980. Mes élèves à l’époque se plaignaient du peu de produits disponibles sur le marché pour réaliser leurs maquillages, et à force de bricoler des recettes afin d’avoir la matière nécessaire pour réaliser mes motifs en cours, j’ai eu l’idée de créer ma propre ligne de produits afin de satisfaire les pros du monde entier. Quel est votre best-seller ? Votre plus beau succès ? Je pense que nos best-sellers les plus marquants sont les crayons AQUA. A l’origine, au début des années 1990, j’en avais développé quelques exemplaires spécialement pour les ballets aquatiques de Muriel Hermine. Au fil des années, nous nous sommes rendus compte que ces produits waterproof pourraient servir à toute femme recherchant un résultat maquillage parfait, quel que soit le temps, les larmes, la plage ou tout simplement l’humidité. C’est ainsi que nous avons lancé nos Aqua Eyes et Aqua Lip dès 2002, avec un succès sans précédent ! Encore aujourd’hui, la référence 0L noir mat de nos Aqua Eyes est notre best-seller absolu, personne n’y résiste ! Quel est le projet ou le produit dont vous êtes le plus fière ? Mon produit fétiche est et restera l’énorme gamme de fards à paupières que j’ai été la première à développer. Dès 1984, nous avions déjà 100 couleurs à disposition, aujourd’hui nous en sommes à 150. Ils me rappellent le début de ma marque, les nuits passés à les presser moi-même dans la cave avec l’aide de mon père. Parfois il nous arrivait de faire des erreurs de mélanges – et c’est ainsi que des nouvelles couleurs ont vu le jour ! Parfois même de futurs best-sellers ! Comment envisagez-vous le futur de la marque ? Quels sont les prochains projets ? Déjà, pouvoir maintenir l’état de grâce de MAKE UP FOR EVER serait une belle réussite. Notre croissance ces dernières années est telle qu’il ne faut surtout pas se perdre ! Quant à moi, je me souhaite de continuer à développer des produits de qualité qui répondent à de vrais besoins de maquilleurs. Quoi qu’il arrive, il nous faut continuer à créer des valeurs sûres qui satisferont à la fois les pros et le grand public. Les produits phares Les fards à paupières C’est par eux que tout a commencé. Ils sont en effet les premiers produits à avoir été lancés. Aujourd’hui, avec 125 teintes différentes, on peut toutes trouver notre bonheur, du plus classique – noir, blanc, rose – au plus extravagant –jaune, turquoise ou même rouge. Hyper concentrés en pigments, ils offrent une couleur intense et longue tenue. Les faux-cils Comme pout le reste du maquillage de la marque, la gamme de faux-cils répond à toutes les envies. Pour un résultat glamour mais discret, on opte pour les faux-cils naturels. Mais si on veut quelque chose de plus show off, on pioche dans la gamme des faux-cils extravagants XXL, colorés, à plume ou à strass, ils nous en font voir de toutes les couleurs. Les crayons Aqua Eyes Toute beauty addict qui se respecte sait que la marque est la référence en matière de maquillage waterproof. Ainsi, pour un regard fatal longue tenue, rien n’égale les crayons Aqua Eyes. Et avec leurs 25 teintes différentes, ils permettent de changer de look selon nos envies. La poudre libre HD Une poudre magique qui fixe le fond de teint, sublime le visage et nous fait un teint parfait. Le tout en restant invisible grâce à une teinte unique au fini transparent et à une finesse de grain exceptionnelle. L’Anticernes HD En septembre, la gamme HD accueillera un petit nouveau. Comme ses grands frères, il possède une granulométrie très fine qui offre un résultat naturel. Cet anticernes nouvelle génération camoufle cernes et petites imperfections tout en apportant de l’éclat au contour de l’œil. Et grâce à son embout en silicone, il permet une application vraiment précise. L’enseignement au cœur de la marque Avant de créer ses propres produits, Dany Sanz a été la première à ouvrir une école de maquillage pour les professionnels en Europe. Elle a ensuite donné des cours pendant de nombreuses années. La pédagogie est donc devenue tout naturellement l’un des piliers de la marque. De nombreuses Make Up For Ever Academy ont été lancés à travers le monde pour former les professionnels, dont la plus célèbre se situe bien évidemment rue de La Boétie. Au-delà des make-up artists, Dany Sanz a également voulu transmettre son savoir-faire au grand public. En Mars, la marque a ainsi ouvert une Make Up School au sein du Sephora Champs-Elysées. On peut y suivre des cours personnalisés dispensés par des experts. Ils nous dévoilent leur technique pour se faire un smoky eye, pour poser des faux-cils ou même pour réaliser un maquillage complet. Grâce à eux, le maquillage devient un jeu d’enfant.
Photo Axelle/Bauer-Griffin/ une autre célébrité qui lance sa marque de cosmétique. Entre Ciara & Selena Gomez qui ont déclaré travailler sur leur propre gamme de cosmétiques ou Aya Nakamura qui annonce sa collaboration avec MAC, c'est à se demander si la musique ou le cinéma ne sont pas suffisamment c'est au tour de Millie Bobby Brown l'actrice qui joue Eleven dans Stranger Things de passer le cap. À seulement 15 ans, la star serait maintenant donc à la tête de sa propre marque de cosmétiques appelée florence by Mills. Au programme des soins et du maquillage, avec au total plus de 15 produits différents, spécialement pensés pour la génération ses propres mots au magazine WWD, ce projet serait le fruit d'une décision spontanée et instinctive. » Elle explique Je suis du genre à être très décisive. Dès que j'ai pris une décision, je m'y tiens. Et je ne regrette rien généralement. Chaque décision que j'ai prise avec florence [by Mills] s'est fait en pas plus de 2, 3 secondes. »En terme de cibles, florence by Mills ne proposera que des produits vegan et certifiés par la PETA, avec des prix situés entre 8,50€ et 29€. Parmi eux un masque rafraîchissant, des pads en gel pour les yeux, une crème teintée pour les peaux claires et une crème de blush. On ne sait pas encore quand la gamme sera disponible en France, mais on sait déjà qu'elle sera distribuée chez Ulta Beauty aux Ètats-Unis et Boots en la vidéo qu'elle a postée sur Instagram, la marque aurait mis deux ans à voir le jour, deux années de recherche et développement pour créer l'amour de sa vie ». Voici donc florence by mills » écrit-elle en légende. Littéralement l'amour de ma vie, je ne peux pas expliquer l'amour que j'ai pour ce projet ni à quel point ça a été dur et excitant à réaliser. Deux ans à créer une marque de cosmétiques, mon Dieu. Ça a été dur de tenir le secret mais je peux maintenant partager la nouvelle avec vous tous !! Merci pour tout l'amour et le soutien que vous m'apportez tous les jours »En termes de nom, l'actrice explique que florence by mills serait un hommage à sa grand-mère, en combinaison avec son nom de famille, Mills. On attend toujours de connaître la date exacte de lancement, mais une chose est sûre Kylie Cosmetics et Fenty Beauty n'ont qu'à bien se tenir.
Dans un monde toujours plus en expansion, il est impossible d’échapper aux influenceurs et autres youtubeurs beauté. Cette beauté fait aujourd’hui partie intégrante de notre quotidien, entre routine peau et soins capillaires, manucures et maquillage, nous nous y intéressons tous de près ou de marques se multiplient pour offrir toujours plus aux consommateurs, et toutes redoublent de créativité et d’innovation pour les séduire. Il faut toujours se réinventer, rester moderne ; la beauté ne dort jamais. Mais dans ce contexte, comment s’y retrouver parmi toutes ces marques de maquillages, comment bien choisir son produit, selon nos propres attentes, besoins, ses propres valeurs, ou selon un budget plus restreint ? Les choix ne manquent pas. Dans cet article, nous allons nous pencher sur le maquillage en particulier. Le make-up est un incontournable dans une routine beauté. En plus de nous permettre de masquer nos imperfections ou de carrément restructurer son visage, le maquillage est aussi un moyen d’expression et d’affirmation de sa personnalité et de sa créativité, que l’on soit d’un tempérament exubérant ou plus discret. C’est pourquoi nous nous sommes attelés à la tâche ardue de vous dresser une liste courte qui regroupe, selon nous, les 14 meilleures marques de maquillage disponibles sur le marché français. Voici donc, les 14 meilleures marques de maquillage L’Oréal Leader mondial de l’industrie cosmétique, L’Oréal réussit le pari ambitieux de maintenir sa première place en jouant sur toutes les scènes. Ce que l’on aime chez L’Oréal ? Son rapport qualité-prix. L’Oréal propose de bons produits pour petits que l’on aime moins Ils testent encore sur les animaux. 2020, les gars ! En tant que leader, il serait de bon ton d’innover et changer ces incontournables L’Oréal la gamme de fonds de teint Accord Parfait. Nyx Cosmetics Nyx tire son nom de la déesse grecque de la nuit et propose un large panel de produits pour créer des looks glamour et modernes. Ses plus ? Ses petits moins ? La tenue des produits qui ne tiennent pas tous leurs Nyx La base de teint Honey Dew Me Up. Sephora Collection Gamme make-up proposée par le géant du cosmétique. Ce que l’on aime ? Ses prix tout que l’on aime moins ? Pour le moment, rien !L’incontournable Sephora Sa gamme de rouges à lèvres mats. Benefit Cosmetics Benefit est la marque du sourcil parfait ! Ce que l’on aime ? L’effet regard de pin-up ultra facile à réaliser et la superbe tenue de leurs que l’on aime moins ? Le manque de Benefit La gamme pour les sourcils. Too Faced Marque fun, pétillante et glamour, Too Faced propose un large choix de produits de qualités, pour rester belle tout en s’amusant. Ses plus L’innovation dans ses formules et ses produits cruelty-free !Ses moins L’odeur de certains fards infusés, qui ne peuvent pas forcément plaire à tout le produits phares La gamme de Teint Born This Way et le mascara Better Than Sex. Urban Decay Totalement badass et underground, Urban Decay a pu sortir son épingle du jeu en offrant des gammes performantes et féminines. La marque est cruelty-free. Ce que l’on aime chez UD Les palettes que l’on aime moins chez UD Le manque de palettes UD Les palettes Naked. Dior Inutile de présenter l’iconique Dior, bien connu du grand public. Dior n’excelle cependant pas que sur les catwalks et dans la haute-couture, mais aussi par ses produits de beauté. Ce que l’on aime chez Dior La ligne de make-up Dior Backstage inspirée des coulisses des grands que l’on aime moins Le luxe a un coût. Bien que les produits make-up Dior en valent le détour et sont de grande qualité, ils ne s’adressent pas aux plus petits Dior Le Rouge à lèvres Rouge Dior. Mac Cosmetics Comment parler des meilleures marques de maquillage sans mentionner Mac ? Tendance, moderne, toujours à la pointe, Mac tient non seulement la cadence, mais surtout ses promesses. Ses plus A notre humble avis, Mac détient la médaille du meilleur rapport qualité-prix. Ses produits sont excellents et surtout, abordables. On en a pour son moins A l’instar de L’Oréal, et nous le déplorons, Mac n’est à ce jour toujours pas best-sellers N’importe lequel de ses rouges à lèvres, mats ou crémeux, et le spray Prep&Prime. Anastasia Beverly Hills Anastasia est à la base le gourou » du sourcil, mais la marque s’est développée ces dernières années et se décline en produits destinés à structurer le visage. Sourcils, rehausseurs de teint, ou encore lip liners, Anastasia BH propose des looks glamour et travaillés. Ses plus Ses produits uniques et de grande moins Ses prix parfois incontournables Sa gamme pour les sourcils. Tarte Cosmetics Fraîchement débarquée des Etats-Unis, Tarte Cosmetics est totalement singulière dans le monde du make-up Ses plus Son image organique et moins Les gammes restreintes de ses produits sur le marché best-seller Le Shape Tape concealer. Nars Sophistiquée et épurée, Nars rime allie chic et modernité. La marque offre une très belle qualité, mais pour un prix parfois peu attirant. Ce que l’on aime chez Nars Son côté épuré. On va à l’ que l’on aime moins Le budget qui se rapproche des marques de incontournable Le blush Orgasm. Kat Von D Tatoueuse de métier, Kat von D a bien compris l’importance de la couvrance et des textures. Elle a révolutionné le monde du make-up à elle toute seule en apportant une vision neuve au maquillage avec des produits non seulement de haute qualité, mais également il s’agit d’une marque de maquillage vegan ! Ce que l’on aime chez KVD Son éthiqueCe que l’on aime moins De par la haute couvrance des produits, et du visuel certes très beau gothique de la marque, elle ne s’adresse peut-être pas à tout le KVD Le Tattoo Liner. Fenty Beauty Créée par Rihanna, Fenty s’adresse à toutes les beautés des femmes et s’est fixé pour mission de n’en exclure aucune. Ses plus Son moins Je cherche best-sellers Le Gloss Bomb et le Pro Filt’R Foundation. Laura Mercier Laura Mercier vise le teint parfait, sans effort, naturel. Ce que l’on aime Le teint sublimé, naturel. Vous, mais en bémol Son Incontournables La base teintée Tinted Moisturizer et la poudre libre fixante Loose Setting Powder. C’est ici que s’achève la liste non-exhaustive des meilleures marques de maquillage que nous avons jugées importantes. N’oubliez pas qu’il existe autant de beautés qu’il y a de fleurs dans la nature et que le maquillage ne doit pas se substituer à votre self-esteem. Ne laissez jamais personne douter de votre beauté ! Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir les dernières news made in La Mode C'est Vous!
Des superbes modèles de couverture de livre qui vous font gagner du vous êtes en train d'autoéditer un livre, vous savez que sa rédaction ne représente qu'une partie du processus. Vous devez également le commercialiser, ce qui nécessite une couverture de livre descriptive et accrocheuse. Vous pouvez également avoir besoin de l'expertise d'un designer ou d'un artiste. Et ce n'est pas donné. Mais avec Adobe Express, vous pouvez créer des couvertures de livres élégantes et professionnelles depuis le confort de votre gratuitement Adobe Express sur votre ordinateur de bureau ou votre périphérique mobile pour commencer à créer vos des modèles conçus par des des milliers de modèles de couverture de livre ou créez un modèle en avant des images vos propres photos ou ajoutez des images de stock et des modèles issus de nos votre couverture en à votre couverture de livre une image de marque en téléchargeant votre logo et en utilisant des polices et des couleurs qui correspondent à votre esthétique. Avec un plan premium, vous pouvez même appliquer automatiquement vos éléments de marque pour gagner du temps et créer votre couverture de sur le bouton de publication et téléchargez instantanément votre couverture de livre directement sur votre appareil. Imprimez-la, envoyez-la à votre éditeur ou partagez-la en votre couverture de livreCréez une couverture de livre qui raconte une livre a une identité propre, il est donc normal qu'il ait une couverture unique et distinctive. Vous n'avez pas à vous soucier de faire ressortir votre ouvrage de la concurrence lorsque vous disposez d'Adobe Express. Plusieurs options de personnalisation vous permettent d'injecter votre créativité et votre originalité dans la couverture de votre livre. Réfléchissez à l'histoire que vous voulez que votre couverture de livre raconte. N'oubliez pas que c'est la première impression que le lecteur aura de votre livre. Essayez différents filtres, ajustez la palette de couleurs et jouez avec les autres options jusqu'à ce que votre couverture de livre soit votre couverture de livrePourquoi utiliser Adobe Express pour concevoir la couverture de votre livre est le fruit de votre temps, de vos efforts et de votre passion. Vous souhaitez qu'il ait un impact sur le plus grand nombre de personnes possible. Adobe Express peut vous aider à concevoir une couverture de livre qui capture l'essence de vos mots et les présente à votre public. Qui plus est, Adobe Express est entièrement gratuit et facile à apprendre. Libérez le potentiel de vos écrits avec une couverture de livre qui respire la votre couverture de livreQuestions fréquemment sont les tailles standard des couvertures de livres ?Les tailles de livre les plus courantes commencent à 10,8 cm x 17,4 cm "et vont jusqu'à 15,2 cm x 22,8 cm. Cependant, vous pouvez créer un format personnalisé pour votre livre en fonction de vos besoins. Tenez compte du type de couverture livre de poche ou couverture rigide, du nombre de pages et du genre lorsque vous décidez de la taille de votre qui fait une bonne couverture de livre ?Gardez un design simple et optimisez l'espace de la couverture afin d'attirer l'attention de quelqu'un de l'autre côté de la librairie avec votre couverture. Utilisez des images ou des illustrations percutantes et une typographie audacieuse. Mettez en avant un slogan, un soutien ou un prix afin de fournir un contexte aux personnes qui envisagent de lire votre type d'images dois-je utiliser pour la couverture de mon livre ?Assurez-vous que vos images sont de haute qualité et d'une résolution correcte pour l'impression. Vérifiez également que vous disposez des droits d'utilisation de toutes les images que vous présentez sur votre couverture. Utilisez nos effets dignes de Photoshop pour améliorer, modifier ou ajouter des filtres à votre créer mon propre modèle de couverture de livre ?Tout projet nouveau ou existant peut être transformé en un modèle partageable. Ouvrez votre projet, choisissez l'option Partager en haut à droite, et suivez les instructions pour créer votre propre modèle. Accédez à vos modèles depuis votre bibliothèque et partagez-les avec vos obtenir Adobe Express gratuitement ? Si oui, qu'est-ce qui est inclus ?Oui, Adobe Express dispose d'un plan gratuit qui comprend des fonctionnalités de base telles que des outils de retouche photo et des effets, ainsi que des milliers de modèles gratuits. En savoir plus sur nos plans et tarifs.
comment créer sa propre marque de maquillage