Letransfert des crédits immo et crédits conso est tout bonnement impossible et il s’agit d’ailleurs d’un frein majeur au changement de banque. En effet, la loi sur la mobilité bancaire ne prévoit pas la possibilité de changer de
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Vouspouvez exercer votre droit à la mobilité bancaire quand vous le souhaitez, à condition de respecter le préavis éventuellement prévu par votre convention de compte. Vous pouvez donc, en toute simplicité, changer pour une banque en ligne en une seule fois ou progressivement. Crédit photo : Getty images.
Iln'est pas permis de changer de banque si vous avez un crédit en cours dans une banque. En outre, le déplacement de vos fichiers d'un point A à un point B peut être fastidieux et décourageant pour un grand nombre de personnes. Il existe aujourd'hui des solutions très intéressantes pour passer facilement d'une banque à une autre. Mobilité
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Faireracheter son prêt pour changer de voiture. Que ce soit un crédit auto, un prêt personnel ou un leasing, les trois financements sont des crédits à la consommation et peuvent être rachetés dans le cadre d’une opération de banque que l’on appelle un regroupement de crédit.Il s’agit en fait d’une opération qui permet de rembourser par anticipation l’emprunt, une banque ou
. Le 12 mars 2018 à 174247 Georgecarre a écrit Salut à tous J'ai cherché sur le forum si la question avait déjà été posée mais je n'ai pas avec madame on voudrait se lancer dans l'achat de notre 1er bien immobilier se serait notre résidence principalOn est aller voir notre banque, LCL, elle ne nous prête rien car on a n'a pas beaucoup d'apport 10 000eurosVia des courtiers, on a des solutions, mais on nous annonce un budget un peu serré... Dans l'optique d'augmenter notre budget, on voudrait rembourser le crédit qu'on a sur notre voiture environ 200 euros / mois en utilisant une partie de notre apport qui est placé sur un PELLa question est la suivante Est ce une bonne idée ? On nous a dit que 10 000 d'apport pour acheter un bien aux alentours des 200 000 c'est trop peu, et que limite vaut mieux garder cet argent de côté pour les imprévus... Il nous reste en gros 3500 Euros à payer pour la voiture... Est ce qu'on serait VRAIMENT mieux au yeux des banques si on n'avait ce crédit auto ? Tout les avis sont les bienvenus Oui ce sera mieux. Le 13 mars 2018 à 111615 Georgecarre a écrit Wow ! merci pour toutes ses infos ! j'vais essayer d'être conci Dans le titre, j'ai mis crédit à la conso mais ça correspond au crédit pour ma bagnole, désolé du lapsus On n'a aucun crédit conso en a 1 compte courant chacun avec ma femme, et un compte commun d'où sont prélevés toutes les dépenses facture courses etc.... C'est sur ce comtpe qu'on a un PEL associé, et il est toujours au minimum à 0. On tombe jamais à découvert sur ce compte là. Au LCL on a pas tellement de contact vu qu'on demande jamais rien, mais quand on a pris RDV avec notre conseillé, il nous a dit qu'en dessous de 10% d'apport, il ne prêterait rien. Mais on s'en tape vu qu'en passant par notre courtier on a des établissements qui nous financent Niveau salaire, on est tout les 2 autours de 1900 Euros. On a un enfant à charge. Donc par mois on rentre 3800 euros. bête et mechant si on se fixe la limite à 33% d'endettements, on devrait pouvoir rembourser 1254 euros par mois, en retirant le credit auto de 190 euros, ça tombe à 1064 euros et ça représente quand même 15% de notre budget ! Et pour être encore plus précis notre apport se décompose comme cela 7600 euros de PEL 2000 euros de livret A pour moi. 2000 euros de livret A pour ma femme. Donc en fait c'est 11600 euros de côté, mais on souhaitait garder un petit matelas de côté "au cas où"Du coup, ça semble être une bonne idée de combler le crédit de la voiture d'après vos commentaires... Via la messagerie de ma banque, mon conseiller me dit par contre que casser notre PEL ça oblige à le fermer... donc si on rembourse le restant de notre crédit auto on devra replacer la différence quelque part...edit autre détail, on est pas marié ! Est ce que ça aide de se marier ?Si vous gagnez 1900 euros chacun ça fait 3800 et sur 25 ans sans apport tu peux financer 270K. À condition de virer ton crédit. Bon je te conseille de garder de la capacité d'emprunt en cas de coup dur ou si tu veux investir parce quoiqu'on dise une résidence principale n'est pas un investissment.
Ne pouvant tenir la concurrence avec les banques sur le prêt personnel, les sociétés spécialisées se résignent à gérer pour leur compte les dossiers de crédit. Les commissions issues de ce métier pèsent aujourd’hui jusqu’à 30% de leur produit net bancaire. Pour le moment, le service n’est offert que pour les prêts personnels. Le business model des sociétés de crédit à la consommation est en train de changer sans grand bruit. Spécialisées depuis toujours dans la seule distribution de solutions de financement, elles s’investissent de plus en plus dans la gestion pour compte de tiers. Ce service, autour duquel elles se montrent encore relativement discrètes, consiste à agir comme sous-traitants pour gérer la commercialisation de dossiers de crédit à la consommation d’autres organismes financiers. Ces sociétés spécialisées fournissent cette prestation essentiellement aux banques. Wafasalaf, qui a été parmi les premières à s’y mettre, gère en back office les crédits placés par sa maison mère Attijariwafa bank, de même qu’elle loue ses services à Crédit du Maroc –dont la maison mère Crédit Agricole SA détient 49% de son capital– et à Crédit Agricole Maroc. Sur le même modèle, Salafin sert sa maison mère BMCE Bank Of Africa autant sur le marché local qu’à travers l’Afrique. Plus récemment, c’est Sofac qui s’est engouffrée dans la brèche en prenant en charge la gestion des financements d’Al Barid Bank et de CIH Bank, deux établissements actionnaires de référence de la société. Vivalis et Eqdom ont aussi cherché à exploiter le filon avec leurs banques mères, respectivement Banque Centrale Populaire et Société Générale Maroc. Mais à la différence du reste du marché elles n’ont pas poussé l’expérience, selon les professionnels. Dans le schéma mis en place, les agences bancaires se contentent de drainer de la demande, tandis que tout le reste, la saisie du dossier, le scoring, le prélèvement des mensualités, le process de recouvrement jusqu’à la politique marketing éventuellement, est pris en charge par la plateforme des sociétés. Ceci sachant que l’encours de crédit reste porté par les banques», explique un directeur au sein d’une société de la place. Diversification des sources de revenus à cause de la concurrence des banques Le terrain de chasse des filiales spécialisées ne se limite pas aux seuls établissements de crédit. Certains acteurs de la place fournissent aussi des prestations de scoring et de recouvrement aux opérateurs de télécommunication, selon les professionnels, lesquels doivent mener des études de dossier similaires à ce qui a cours pour le crédit à la consommation détermination du revenu, vérification de l’historique des incidents de paiements… avant de répondre aux demandes de la clientèle. En s’investissant résolument dans le développement de ce métier de sous-traitance, les sociétés de crédit à la consommation en retirent déjà des revenus conséquents. Ceux-ci sont comptabilisés dans les produits de commissions qui ont littéralement explosé chez les plus grands établissements sur les dernières années. Par exemple, Salafin a vu ce compte être multiplié par 14 en 7 ans, passant de 10,1 MDH en 2010 à 138,4 millions en 2016, alors que dans le même temps ses revenus d’intérêts ont chuté de 25%, à 232,6 millions. Certes, ces produits incluent aussi d’autres services, notamment les frais de dossier. Mais même en prenant en considération ce fait, les spécialistes parviennent à estimer la part de la gestion pour compte de tiers dans le produit net bancaire des sociétés autour de 30% pour Wafasalaf, au-delà de 25% pour Salafin, tandis qu’elle approche les 10% pour Sofac. Si ce nouveau métier paraît de prime abord être une source de revenus supplémentaire pour les sociétés spécialisées, il est plus à regarder comme une solution de repli dans un contexte de baisse de régime sur leur métier historique. Les sociétés de crédit à la consommations ont jeté leur dévolu sur la gestion pour compte à partir du moment où elles ont commencé à être concurrencées par les banques», relate un spécialiste. Depuis 5 ans, celles-ci mettent en avant agressivement le crédit conso comme produit d’appel. Grâce à des taux d’intérêt plus attractif et un réseau de distribution plus dense par rapport aux sociétés spécialisées, les banques ont rapidement pris le dessus. Sur un encours de crédit à la consommation qui a évolué de 3 à 4% en moyenne sur les dernières années, les banques sont parvenues à développer leurs stocks de 8 à 10% quand les sociétés voyaient le leur reculer de 5%», rappelle un professionnel. Cela a fait que depuis 2 ans l’encours de crédits conso détenu par les banques a dépassé celui des sociétés spécialisées. Mais si les banques étaient désireuses de décliner une politique plus volontariste en matière de crédit à la consommation, elles n’étaient pas pour autant préparées à vendre du crédit de manière industrielle à l’inverse de leurs filiales spécialisées. Celles-ci se sont dès lors engouffrées dans la brèche en proposant leurs services. Les conditions du marché demeurant ce qu’elles sont, tout porte à croire que les sociétés spécialisées se renforceront dans leur rôle de sous-traitant. Prochaine étape, le financement de l’automobile Si la tendance ne concerne jusqu’à présent que le prêt personnel non affecté, elle est appelée à s’étendre au financement automobile sur lequel les opérateurs spécialisés ont pu bien défendre leurs positions. Maintenant, elles devraient être de plus en plus concurrencées sur ce segment par les sociétés de financement montées par les constructeurs automobile, selon les professionnels. A l’image de Renault Maroc, les fabricants devraient à l’avenir créer des captives dès que leurs volumes de vente sur le marché local le justifieront», explique un spécialiste. Dès lors, les sociétés spécialisées auront une carte à jouer en vendant leur expertise à ces entités, au lieu de les concurrencer», poursuit-il. Encore une fois, c’est Wafasalaf qui est partie en éclaireur puisqu’elle fournit déjà ses services à la captive de Renault, RCI Finance Maroc. Elle a aussi développé un modèle de partenariat hybride avec Scama Ford à travers lequel le concessionnaire agit comme apporteur d’affaires et est rémunéré comme tel. Cela a donné des idées à Smeia Jaguar et Land Rover et Eqdom qui ont noué un partenariat similaire. En somme, l’horizon est loin d’être sombre pour les sociétés de crédit à la consommation.
Si actuellement, la plupart des offres de regroupement de crédits sont signées avec un contrat à durée indéterminée CDI, peut-on obtenir un financement avec un contrat à durée déterminée CDD ? Quelles sont les conditions ?Regroupement de crédits il est très difficile d’emprunter seul en CDDSelon une récente étude publiée par la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques DARES, 86 % des embauches se font en contrat à durée déterminée CDD. Ce type de contrat concerne désormais tous les secteurs et tous les domaines. Cependant, les nouveaux actifs embauchés en CDD qui voudront obtenir un regroupement de prêts, sont souvent impactés par la précarité de leur contrat de ailleurs, même si les conditions d’octroi diffèrent d’une banque à une autre, il faut savoir qu’il est très difficile d’emprunter seul avec un CDD, surtout à long terme. Logiquement, les banques ne peuvent pas accorder un financement sur 20 ans avec une visibilité sur les revenus de l’emprunteur à court ou moyen les intermédiaires bancaires, les emprunteurs en contrat de travail à durée déterminée rencontrent régulièrement des difficultés à emprunter à moins de travailler dans la fonction publique. Un CDD dans la fonction publique hospitalière, territoriale, d’Etat… est considéré par les banques comme un CDI, avec des offres spécifiques réservées aux un rachat de crédit avec un CDD quelles sont les conditions ?Si certains établissements bancaires refusent systématiquement les CDD du secteur privé, il faut savoir que d’autres étudient le profil de l’emprunteur et son projet au cas par cas. Autrement dit, il est possible d’obtenir un rachat de crédit avec un CDD sous certaines conditions. L’emprunteur doit avoir au moins un co-emprunteur embauché en CDI. Dans ce cas, la banque peut prendre en compte les salaires des deux emprunteurs dans le calcul du taux d’endettement et de la capacité de savoir que, même avec un co-emprunteur en CDI, certaines banques ne prennent en compte que les revenus de la personne en CDI. En d’autres termes, le prêteur peut refuser de prendre en compte le CDD. Ainsi l’emprunteur en CDD risque de jouer un rôle de figurant. Cela diminue la capacité de remboursement du foyer et augmente naturellement la durée d’emprunt, mais si le CDD se transforme en CDI, le montant de la mensualité pourra être augmenté et la période de remboursement réduite à condition que la banque accepte une modulation des échéances.
Les bons conseils pour changer de banque Un départ se prépare à l’avance. À défaut de portabilité du numéro bancaire tel qu’elle existe dans la téléphonie, un changement de banque doit se faire de manière ordonnée et progressive pour éviter les mauvaises surprises. Nos conseils pour le transfert de vos virements, prélèvements et autre opérations bancaires. SOMMAIRE1. En premier lieu, choisissez votre nouvelle banque2. Avant le transfert des principales opérations3. Après le transfert des principales opérations4. Cas particuliers En premier lieu, choisissez votre nouvelle banque Il ne faut surtout pas clore son compte en banque avant d’en avoir ouvert un autre auprès d’une nouvelle banque ! Pour choisir la banque la plus adaptée à vos besoins, munissez-vous de votre récapitulatif annuel des frais bancaires envoyé tous les ans par votre banque à la fin du mois de janvier et utilisez un comparateur sur Internet. Préférez les comparateurs analysant l’éventail de marché le plus large possible au minimum, banques de proximité et banques en ligne. À noter que l’UFC-Que Choisir lancera un comparateur bancaire personnalisable à partir de fin avril 2012. Avant le transfert des principales opérations Virements/prélèvement Démarrez la procédure de changement de compte auprès de votre nouvelle banque sur ce sujet, voir la fiche Ce que vous devez demander à votre banque ». Créditez votre nouveau compte de quelques centaines d’euros pour éviter les risques d’incident de paiement sur ce compte. Chèques Vérifiez, avec les talons de votre carnet de chèque et vos relevés de compte, qu’il ne reste plus de chèques non encaissés. Cet élément est important, car tout chèque encaissé après la clôture de l’ancien compte risque d’entraîner des frais et/ou un interdit bancaire. Cette vérification faite, cessez d’utiliser le chéquier de votre ancienne banque. Carte diminuez l’utilisation de votre ancienne carte bancaire et n’utilisez plus que la nouvelle dès que votre salaire arrive sur votre nouveau compte en banque. À partir de ce moment-là, restituez-la à votre ancienne banque pour ne plus payer ce service. Après le transfert des principales opérations Laissez votre ancien compte vivre encore quelques mois en laissant 100 ou 200 € dessus pour empêcher tout risque d’incident par exemple, le passage d’un prélèvement qui n’aurait pas été correctement modifié par votre nouvelle banque, ou l’encaissement d’un chèque oublié. Fermez le package de votre ancien compte, qui ne vous servira désormais plus à rien, et vous permettra de ne rien payer pour ce compte durant les derniers mois. Surveillez régulièrement votre ancien compte pour vérifier que plus aucune opération ne passe dessus. Si jamais une opération passait, contactez votre créancier ou débiteur pour faire le changement. Après deux ou trois mois sans mouvement, et s’il ne reste plus de chèque à passer, vous pouvez fermer votre compte. Cas particuliers Si vous avez un crédit en cours auprès de votre ancienne banque à moins de pouvoir faire racheter votre crédit par votre nouvelle banque, mettez en place au plus tôt un virement depuis votre nouvelle banque vers votre ancienne banque, pour alimenter l’échéance de votre crédit. Et bien sûr, laissez votre ancien compte ouvert jusqu’au remboursement total du crédit. Si vous avez des produits d’épargne contrairement aux transferts de compte courant, de LDD ou de livret A gratuits, les transferts de PEL ou de CEL peuvent faire l’objet d’une tarification environ 50 € par produit. Pour des raisons techniques, les PEA et assurances-vie sont plus difficilement transférables mieux vaut les conserver dans l’ancienne banque jusqu’à leur échéance fiscale.
Vous avez demandé un crédit et on vous l’a refusé ? Vous êtes inscrit dans un fichier géré par la Banque de France ou un fichier tenu par votre banque ? Quelles sont les différentes démarches à effectuer ? Un établissement financier peut-il me refuser un crédit ? Il n’existe pas de droit au crédit ». L’établissement financier est libre de signer ou non un contrat de prêt et il peut choisir son cocontractant c’est le principe de la liberté contractuelle article 1101 du code civil. Aucun texte ne l’oblige à vous expliquer le motif de son refus. L’établissement financier n’est donc pas obligé de répondre favorablement à votre demande de crédit sa réponse tiendra compte de sa politique interne en matière d’octroi de crédit. A savoir Certaines enseignes commerciales ont mis en place une solution vous permettant d’obtenir des facilités de paiement pour régler vos achats dans leur réseau de distribution. Il s’agit d’une carte de paiement et/ou de fidélité reliée à un crédit renouvelable, c’est-à-dire à une réserve d'argent qui se reconstitue à chaque utilisation. Votre demande est alors traitée par une société spécialisée dans le crédit à la consommation et non par le magasin qui ne reçoit qu’une réponse positive ou négative de la société de crédit. Le magasin doit vous communiquer le nom de la société de crédit afin que vous soyez en mesure d’exercer vos droits. Lorsque vous demandez à votre banquier de bénéficier d’un découvert sur votre compte, cette avance » de trésorerie est également considérée comme un crédit. Quelles peuvent-être les causes de ce refus de crédit ? 1ère cause possible l’établissement prêteur considère que votre dossier ne remplit pas les conditions qu’il a fixées pour obtenir ce crédit et juge votre situation risquée ». Lorsque vous faites une demande de prêt, l’établissement apprécie vos capacités de remboursement à partir des informations qu’il vous demande âge, situation matrimoniale, nationalité, situation au regard de l’emploi, revenus et charges, fonctionnement de votre compte bancaire. L’établissement peut également considérer que vos revenus sont insuffisants ou irréguliers, que l’absence de caution ou de co-emprunteur ne vous permettrait pas de rembourser chaque mois la somme empruntée, que l’octroi d’un crédit augmenterait vos charges mensuelles au point de dépasser une certaine part de vos revenus etc. Si vous estimez que l’ensemble de vos ressources et charges n’a pas été correctement pris en compte, ou si vous avez d’autres éléments d’information à faire valoir, vous pouvez produire tout nouvel argument à l’appui de votre demande. Pour ce faire, adressez-vous au service Consommateurs ou Clientèle de l’établissement qui vous a opposé un refus, lequel est compétent pour procéder à un réexamen de votre demande sur la base de nouvelles pièces justificatives. Vous pouvez également lui demander d’examiner la justification de toute décision prise par l’une des entités d’un réseau. 2e cause possible Vous avez effectué des demandes de crédit auprès de plusieurs établissements d’un même groupe en moins de 6 mois. De façon générale, ces établissements conservent pendant 6 mois les informations relatives aux refus de crédit. Cette pratique a pour objet d’éviter qu’une personne n’effectue des demandes répétées auprès de plusieurs établissements d’un même groupe. Ainsi, si un établissement, ou l’une de ses filiales, vous a opposé un refus de crédit il y a moins de 6 mois, votre nouvelle demande sera sûrement refusée à moins de produire de nouveaux éléments d’information qui permettraient de réexaminer votre dossier. Dans le cas où un premier établissement financier vous opposerait un refus, effectuez une recherche sur internet pour connaître ses filiales. Vous serez ainsi en mesure d’éviter de faire une nouvelle demande auprès d’un établissement appartenant à un même groupe. Ces cas reposant exclusivement sur le principe de la liberté contractuelle, la CNIL ne peut pas vous aider à obtenir le motif du refus de crédit en vertu du Règlement Général sur la Protection des Données RGPD. 3e cause possible Vous êtes inscrit dans un fichier FICP, FCC ou fichier de gestion de la clientèle d’un établissement bancaire L’établissement a l’obligation légale d’interroger le Fichier national des Incidents de remboursement des Crédits aux Particuliers FICP, géré par la Banque de France, afin de vérifier si vous y êtes inscrit ou non. Il peut également interroger le Fichier Central des Chèques FCC. Si vous êtes inscrit au FICP Il est peu probable que votre demande soit acceptée. En effet, le FICP vise notamment à protéger les personnes qui ne peuvent plus faire face à leurs échéances afin d’éviter d’aggraver leur situation en contractant un nouveau crédit. Si vous êtes inscrit au FCC il est également peu probable que votre demande soit acceptée. Si vous avez eu, dans le passé, des difficultés avec l’établissement que vous sollicitez de nouveau Cet établissement, ou l’une de ses filiales, a le droit de conserver la trace d’un incident dans le fichier de gestion de sa clientèle. Votre demande risque d’être refusée au motif d’une mention défavorable faisant apparaître des difficultés de paiement lors de l’exécution d’un contrat précédent. Les éléments relatifs à votre identité, enregistrés dans les fichiers d’un établissement financier, sont conservés pendant cinq ans à compter de la clôture du compte ou de la cessation de la relation commerciale. Quant aux informations relatives à la gestion de votre compte, celles-ci sont conservées pendant cinq ans à compter de la date de l’opération effectuée. Lorsque le refus de vous accorder un crédit est lié à une inscription au FICP ou au FCC, ou repose sur des informations issues du fichier interne de l’établissement financier, celui-ci doit vous le dire. La CNIL peut-elle m’aider dans ces cas-là et quelles démarches puis-je effectuer ? Si vous êtes inscrit au FICP ou au FCC vous pouvez vous rapprocher de la Banque de France pour savoir qui vous a fiché, à quelle date et pour quel motif liste des implantations de la Banque de France.Modèles de courriers de la CNIL. Si vous faites l’objet d’une mention défavorable dans le fichier de gestion de la clientèle d’un établissement financier Afin de déterminer la nature exacte des informations inscrites dans ce fichier, qui pourraient faire obstacle à vos demandes, vous pouvez demander à l’établissement qui vous a opposé un refus de crédit de vous communiquer une copie des informations vous concernant enregistrées dans ses fichiers, ainsi que toute information disponible quant à leur fois ce droit exercé, et selon les éléments qui vous sont communiqués, vous avez la possibilité d’exiger que les données à caractère personnel vous concernant, qui sont inexactes soient rectifiées ou complétées article 16 du RGPD.Modèle de lettre pour exercer son droit de rectification. Par exemple, s’il est fait mention de difficultés de paiement lors d’un contrat précédent auprès de l’établissement financier ou de l’une de ses filiales, vous pouvez faire valoir que votre situation a évolué et demander le réexamen de votre dossier, et par voie de conséquence la rectification des informations vous concernant. Les droits d’accès et de rectification sont strictement personnels et doivent être exercés par chaque personne concernée directement auprès du responsable de traitement. L’établissement doit accéder à votre demande et vous en tenir informé dans les meilleurs délais et, en tout état de cause, dans un délai d’un mois à compter de la réception de votre demande article du RGPD. S’il ne répond pas dans le délai légal ou refuse de rectifier les données vous concernant qui sont inexactes, vous pouvez adresser une plainte à la CNIL afin qu’elle intervienne à l’appui de vos démarches.
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